Quelle ne fut pas ma surprise de rencontrer un jour sur les Champs-Elysées mon ancien amant, Pierre. Ce dernier, tout d'abord surpris de me voir, me proposa de venir dîner en compagnie de sa nouvelle épouse, Laure. Prise au dépourvu, je ne pus qu'accepter l'invitation et un rendez-vous fut pris pour le lendemain soir. Ce fut Laure qui vint m'ouvrir. Elle était encore plus excitante que je m'y attendais, connaissant les goûts particuliers de mon ex-amant. Elle m'accueillit en rougissant, timide comme une pucelle qui n'a jamais connu le goût d'une queue à l'intérieur de ses lèvres.
Décidément, elle m'émoustillait de plus en plus. Elle était vêtue d'une mini-jupe de laquelle émergeait des bas résille du plus bel effet, ainsi que d'un chemisier transparent sous lequel pointaient d'agressifs seins opulents. Pendant que nous prenions tous trois l'apéritif, je constatais avec un plaisir non dissimulé que Pierre se conduisait avec Laure d'une manière extrêmement autoritaire. Avec une totale docilité elle obéissait à des ordres prononcés avec la plus extrême rudesse. Malgré ses allures de pute arrogante, ses yeux constamment baissés et les joues rougissantes de honte formaient un anachronisme avec son accoutrement de vamp. Quand Laure passait à la portée de Pierre, dernier ne se formalisa aucunement de lui glissé une main avide sous 1es fesses, ce qui d'ailleurs î m'étonnait nullement de s part. Soudain il intima l'ordre à Laure de me montrer son cul. Elle me jeta un regard, devint plus rouge que jamais, bredouilla quelques mots inintelligibles, ma finalement, s'exécuta docilement. Ses fesses, d'un blanc lacté, apparurent dans toutes leur splendeur. Rehaussé par la dentelle noire il porte-jarretelles, elles étaient vraiment magnifiques. Je sentais une ondée humide gagner les profondeurs il ma vulve. Pierre s'en aperçut. Et malgré moi, poussé par le désir qui gonflait ses seins de désir, je demandai Laure de me montrer sa chatte. Le pubis de Laure était parfaitement épilé, et je me sou vins avec émotion que, jadis Pierre prenait du plaisir à m raser le sexe. Je lui ordonna alors d'enlever sa jupe complètement et, désormais domptée, elle s'empressa d'obéir. Je parcourais du doigt sa fente imberbe qui perlait de quelques gouttes d'émoi. Mine de rien, la petite Laure était bel et bien en train de prendre son pied. Elle était toute mouillée. Cette vicieuse était aussi émoustillée que moi ! Sur le canapé qui nous faisait face, Pierre avait défait son pantalon et, exhibant sa grosse queue raidie par le désir, se masturbait tranquillement en attendant la suite des événements. Je fis agenouiller Laure devant son mari et lui intimais l'ordre de le sucer. Pendant ce temps, elle me présentai son cul, qui n'en finissait pas de se trémousser. Je ne pus m'empêcher d'y porter une main avide. Laure, visiblement excitée par ma manuelisation experte, se cambrait pour mieux m'offrir sa croupe. Ses fesses s'ouvraient et l'une de ses mains se glissa entre les deux globes pour dévoiler son oeillet brunâtre tout palpitant. Me penchant, je le titillais du bout de la langue. Il se contracta sous cet hommage buccal. De plus en plus excitée, j'y introduisis mon index. Et quelle ne fut pas ma surprise de le sentir littéralement happé. Manifestement, ce n'était pas la première fois que Laure aimait être enculée de la sorte. Un second doigt alla rejoindre mon index, puis un troisième dans le beau trou du cul dilaté de Laure, Elle gémissait doucement en goûtant le plaisir de cette douce pénétration.