Je ne suis plus toute jeune, J'approche des quarante-cinq en pensant que je frôle la ménopause et qu'il faut que je me grouille de forniquer comme je le désire. C'est-à-dire souvent et selon mon humeur. Je n'ai pas envie de moisir seule avec mes chiots, Mais plutôt comme une chienne que les mâles défoncent et reniflent. Mon trou à moi, dès que tombe la nuit, il s'ouvre, Il m'irrite et je suis obligée de le calmer avec mon doigt jusqu'à ce que je jouisse. Lorsque je n'ai pas de doigt sous la main, j'y mets un phallus en lattes, que j'ai acheté à cet effet, il y a un boudoir dans ma mai-son où je cache mes objets se-xuels, J'ai aussi un godemichet ceinture pour le cas OÙ je me drague une femme, ce qui ar-rive plus souvent qu'à son tour. Il faut quand même que je vous tranquillise !
Le jour, je suis une femme d'affaire sérieuse et classique, bien mise, que l'on ne peut pas soupçonner d'avoir de telles pratiques sexuelles. Et pourtant, je suis une femme bourrée de fantasmes que le jour fait naître à cause de mes rencontres de travail. J'aime le sexe par-dessus tout. Je peux être parfois soumise ou dominatrice. Je me présente à mes partenaires comme une salope. J'ai des accoutrements très sexy qui font craquer les mâles libidineux. Je passe toujours du rouge à lèvres vif et ma langue passe et repasse sur le make-up débordant. C'est dans cet accoutrement que je me suis présentée au bar de nuit G. pour entreprendre un allumage réussi de trois mecs, aux genres très différents. Le premier, accoudé au comptoir, avait la tête d'un pilier de bar avec les moustaches en moins. Le second était grand, avait une superbe gueule partagée par une longue mèche rebelle, Il avait un air insolent dans son costard des années cinquante. Le troisième avait une petite frimousse friponne aux yeux pleins de vices, A eux trois, ils devaient avoir l'âge de ma mère. J'y ci mis le paquet. Leur gueule promettaient du bon temps. J'ai sauté sur l'occasion. Mes lèvres écarlates et turgescentes se sont rétrécies en forme de cœur que ma longue humidifiait largement. J'avais exagéré sur le crayon noir du contour de mes yeux, ce qui faisait ressortir leur couleur charbon. Et puis alors, j'avais sorti les talons aiguilles vernis, la guêpière en dentelles et le superbe tailleur bien échancré sur ma devanture. Je les ai poussé légèrement pour m'introduire gentiment dans leur soirée d'hommes célibataires. A partir de ce moment là, ils n'ont eu d'yeux que pour ma poitrine débordante, et mes lèvres sensuelles. J'ai fait en sorte d'effleurer leurs parties les plus intimes pour leur donner du gonflant et ça n'a pas raté. En moins d'une demi-heure, ils étaient à point pour la grande traversée de mes entrailles. J'ai eu subitement envie d'une trempe. Et j'allais faire en sorte que l'un de ces petits cons m'en donne une et devant tout le monde je vous prie ! Je me suis rapprochée du plus costaud des trois et je l'ai insulté de tous mes mots grossiers. Il était très en colère, et j'ai reçu une gifle dont je me rappelle encore les effets secondaires. Comme je n'avais pas enfilé de slip, la cyprine a coulé sur la chair de mes cuisses et j'ai entrouvert Ici bouche pour montrer à mon agresseur qu'il m'avait mis dans un état incroyable et qu'il fallait maintenant que je reçoive sa bitte dons mes entrailles. Il m'a empoigné le bras en me maltraitant jusqu'à ce que l'on arrive aux pissotières des mecs et contre un des urinoirs, il m'a penché et m'a fourré bien profond sa bitte dans mon trou, Il m'a fortement limé et ne s'est pas gêné pour continuer lorsqu'un mec est arrivé pour pisser. J'ai eu droit à quelques sifflotements et j'ai joui réellement comme une salope. J'ai aimé son sperme gluant dans le fond de mes entrailles. J'étais prête à le lécher après coup, mais il m'a dit que l'on avait mieux à faire et qu'il allait me présenter à ses deux autres copains. Il voulait que l'on se mélange tous les quatre. Ça m'a paru être ma foi une bonne idée. J'ai quand même insistée pour lui nettoyer un peu le gland, et j'ai tout fourré dans ma bouche quelques instants pour avaler nos odeurs. Il a rangé le tout derrière sa braguette et nous sommes remontés chercher les deux autres. Ils étaient "d'accord, y a pas de problème" pour me sauter à trois. Ça m'a émoustiller de savoir qu'ils me désiraient les trois lascards. Surtout que s'ils étaient aussi bien montés que le premier, ça allait être ma fête. Et lorsque c'est ma fête, je me fais défoncer par tous les trous. On a été chez 1'und'eux. lis m'ont poussé dans la première pièce et se son mis à me tripoter ensemble. Les grosses paluches du pilier m'ont rempli de frissons. Et puis tous ces doigts qui me couraient sur la peau, ça m'a donné chaud. J'ai cambré le dos, relevé ma croupe et soulevé ma jupe sur mon cul nu. Ils avaient des bittes plus longues et plus dures que des matraques. Ils ont descendu leurs braguettes, fait tomber leurs pantalons et sont venus frotter leurs membres en érection chacun leur tour, contre mes fesses échauffées, Je leur ai dit : "Je suis votre chose, faites de moi ce que vous voulez ! " Je ne sais pas s'ils ont entendu. Mais ils étaient à nouveau autour de moi et bien contre moi, se masturbant contre mes hanches et mes cuisses. La force avec laquelle ils le faisaient me rendait folle. J'étais ivre de désir. Avoir trois hommes pour moi toute seule, c'est une véritable luxure. Comme je me sentais prête, j'ai offert mon vagin au plus près et il m'a pénétré comme une motte de beurre. Il s'est enfoncé en moi jusqu'à la garde. J'ai joui Infiniment longtemps mais il n'a craché sa semence que sur mes reins. J'ai prestement badigeonné son sperme sur la peau de mes fesses. Les deux autres ne se sont pas fait prier pour me perforer. L'un m'a mise à quatre pattes pour me fourrer sa bitte dans la bouche, l'autre s'est agenouillé pour me prendre par derrière. Il a d'abord introduit sa bitte dans mon vagin très liquide et puis une fois bien lubrifié par mon jus, il s'est enfoncé dans mon anus. Pendant que je faisais coulisser mes lèvres et ma langue sur le jonc de celui de devant l'autre m'enculait. Et puis bien sûr, celui qui avait déchargé le premier, s'est glissé sous moi pour me lécher les seins avec sa grosse langue râpeuse. Je n'ai pas cessé de jouir et d'être aspergé de semence. Les mâles ont déchargé presque en même temps, au fond de ma gorge et dans mes intestins joyeux de leur sort. Je n'ai pas avalé le foutre de celui qui m 1 a limé la bouche. J'ai tout craché dans ma main, je me suis déshabillée et je l'ai badigeonné sur ma poitrine envahissante. Nous avons dormi tous les quatre dans le même lit, mais je me suis retirer à l'aube.